À 37 ans, Jean-Sébastien Poulin est copropriétaire de Nissan Sherbrooke et Infiniti Sherbrooke en plus d’en être le directeur général de ces deux concessions du Groupe Beaucage. Auparavant plombier, Jean-Sébastien Poulin a fait fi des obstacles sur sa route pour se rendre là où il est aujourd’hui et mets l’humain au cœur de ses actions.
Apprenez-en plus sur Jean-Sébastien Poulin, son histoire et son parcours
Partie 1 : Passion du domaine
- 1.Depuis combien de temps êtes-vous dans l'industrie automobile?
Je suis dans l’industrie automobile depuis 2006 et j’y ai travaillé comme vendeur dans diverses concessions avant de devenir gérant et finalement directeur général et copropriétaire.
Auparavant plombier et malheureux, je me suis dirigé vers un programme bilingue de trois ans en marketing automobile en Ontario n’ayant pas d’assez bonnes notes pour aller au Cégep au Québec. Le domaine me semblait intéressant. J’y ai d’ailleurs gagné des bourses lors des deux premières sessions. De fil en aiguille, j’ai lavé des voitures pour payer mes études et lorsque j’ai terminé, j’ai obtenu un poste de directeur chez Entreprise location d’auto. Par la suite, une série d’échecs m’a poussé à travailler comme vendeur automobile ainsi que gérant. Daniel Beaucage m’a finalement appelé afin de m’offrir de devenir copropriétaire de Nissan Sherbrooke.
Un mélange de tout. Des humains, de la vente, du marketing et des finances. Les voitures oui, mais tout ce qui entoure la vente de voiture est assez impressionnante et touche à tout. J’aime l’implication que l’industrie automobile me demande.
J’ai toujours dit que je ne vendais pas d’auto, mais que j’achetais des clients. L’idée, c’est de créer une relation avec le client avant même de répondre à son besoin. Il faut être honnête et aimer les humains afin de construire un lien de confiance. C’est la base de tout, peu importe le domaine.
Avec mon parcours, je suis très fier d’être en mesure de surmonter les échecs et d’être où je suis aujourd’hui. Ça peut paraître bizarre, mais je suis content de vivre des échecs, car en les vivants j’en sors gagnant. L’important n’est pas de gagner, c’est de perdre, car tu apprends pour finalement gagner à la fin. Il faut se battre chaque jour pour affronter les échecs et avancer plus vite ainsi.
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Partie 2 : On s'amuse
Une Ferrari, même si j’en ai déjà essayé une et que j’ai été déçu. Je la trouve belle.
Une bonne vieille Acura Integra 92 blanche sur laquelle j’avais mis de beaux mags chromés.
Des audios de croissance personnelle, plate comme ça! J’ai des chansons favorites, mais 80% du temps en voiture j’écoute des audios de croissance.
J’ai eu la chance de vivre un beau trip l’an dernier en conduisant une formule 1 dans le cadre du Grand Prix de Milan. Où j’ai eu la chance de jaser avec les pilotes. C’était vraiment un voyage de rêve. Ça m’a toutefois fait réaliser que je ne profitais pas assez du moment présent.
Définitivement novembre 2005, où j’ai embrassé pour la première fois ma conjointe. Un moment marquant pour moi dans une Honda Civic bleue à la lumière de l’Université Laval à Québec. C’était d’ailleurs elle qui conduisait.
Plusieurs choses, surtout celles qui me sortent de ma zone de confort. J’aime faire du sport combat ainsi que des défis sportifs. Ça me permet de rencontrer des gens différents extraordinaires et en apprendre plus sur leur vie ainsi que leur réalité. Nous avons à apprendre de tout le monde.
« One team, one spirit ». J’aurais pu en prendre d’autres, mais c’est celle que j’utilise le plus souvent. Tout le monde doit être aligné vers le même objectif. Seul on ne peut rien faire, ensemble on est capable de tout faire. L’équipe, peu importe le type (couple, ami, travail) est ultra importante.
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